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L'arche de Jackie
1 janvier 2020

mercredi 1er janvier ! Très Bonne Année à toutes et tous et en avant pour 2020....

janvier  VOEUS

Et voilà ! une nouvelle Année débute ! un premier jour et tous ceux qui suivront en janvier mais aussi au fil des saisons ! en avant pour de nouvelles aventures !
et comme je l'ai déjà dit pour l'occasion... avec ce très beau diction provençal à garder en mémoire au fil du temps ! car c'est le plus beau voeu que l'on puisse formulaire pour nous tous, pour les nôtres, pour nos amis...
"Bon bon d'an e a l'an qué ven. Diéu nous fague la gràci de vèire l'an que vèn, e se noun sian pas mai, que noun fuguen pas mens !"
(Bonne fin d'année et à l'année prochaine. Que Dieu nous fasse la grâce de voir l'an qui vient et que si nous ne sommes pas plus, que nous ne soyons pas moins !)
"Que la vie nous fasse le bonheur de voir l'an qui vient et que si nous ne sommes pas plus, que nous ne soyons pas moins ! et que tous ceux qui nous manquent si cruellement aujourd'hui restent dans nos coeurs et dans nos esprits  jamais... !"
Tous mes voeux pour chacun et chacune de vous et de tous ceux qui vous sont proches ! Au fil des jours de janvier... 3035919184  

mercredi 1er janvier 2020 - nous fêtons les Clair, Clar, Cler, Sklaer, Marie, Odilon, Eugent, Fulgence et Télémaque ! et bien sûr "Le Jour de l'An" !

Saint Clair du Dauphiné. Clair vient du latin "clarus" qui signifie comme son nom l'indique "clair".
On fête aussi la Sainte Marie, mère de Dieu.
  • Les douze premiers jours de janvier indiquent le temps qu’il fera les douze mois de l’année.
cela s'est passé un 1er janvier :
1er janvier 1777 - publication du premier quotidien en France.
Le 1er janvier 1777, sous l'intitulé "Journal de Paris", les habitants de la capitale découvrent le premier quotidien jamais publié en France, avec quelque retard sur les Londoniens qui bénéficient de cet avantage depuis 1702.
"Le Journal de Paris" est le premier quotidien français. Ses concepteurs visent la bourgeoisie parisienne en lui fournissant des nouvelles littéraires, scientifiques ou politiques. Un lectorat... éclairé !

Immédiatement, le nouveau titre rencontre le succès. Le lancement est rondement mené. Depuis l'automne, Paris et la France sont inondés de prospectus vantant cette nouveauté, initiée par une société de quatre hommes entreprenants, bien insérés dans les réseaux de clientèles nécessaires pour qui veut réussir.
Protégés par Necker, directeur du Trésor royal depuis 1776 et bientôt directeur général des Finances, et par Lenoir, lieutenant-général de police de Paris, les quatre mousquetaires à l'initiative de cette première sont le pharmacien chimiste Antoine Cadet de Vaux, "inspecteur des objets de salubrité", connu pour son engagement dans des entreprises hygiénistes (fabrication du pain, disparition du cimetière des Innocents...), Coranrez et Dussieux.

Vendu deux sous le numéro, composé de quatre pages de faits divers et d’actualités culturelles. Il est distribué chaque matin entre sept et dix heures après avoir été imprimé dans la nuit à une époque où les gazettes, surtout publiées à l'étranger, sont coûteuses et sortent chaque semaine un ou deux numéros qui arrivent souvent avec retard.
Le journal offre une maquette très moderne avec des rubriques bien séparées et facilement identifiables permettant une lecture rapide.
On y trouve des informations pratiques (météorologie, bourse, résultats des tirages de la loterie royale, annonces de spectacle, prix de denrées). La partie rédactionnelle consiste en articles littéraires et chroniques événementielles sur des faits divers remarquables.
Au fil des jours de janvier... Journa10
Au fil des jours de janvier... Captu110

Répondant aux besoins des Parisiens, "Le Journal de Paris" inaugure une formule nouvelle qui va faire du quotidien un élément indispensable de la vie en société.
Son tirage atteint douze mille exemplaires en 1790. Pendant la Révolution, les comptes rendus des séances des Assemblées du "Journal de Paris" sont reconnus comme les meilleurs ; ils sont très vivants et assez favorables aux aristocrates.
Modéré, il fut interdit après le 10 août 1792, mais parvint à reparaître quelques mois plus tard.

Il paraîtra jusqu'en 1840 et comptera parmi ses rédacteurs réguliers des personnalités comme Garat ou Condorcet.

Au fil des jours de janvier... Pre_2610
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