Mercredi 2 février - naissance de Bécassine
Nous fêtons les Théophane, Théophania !
Le prénom Théophane vient des mots grecs theos (Dieu) et phanos (lumière). Ce prénom renvoie à l'idée de lumière divine ou d'apparition divine.
🖋 Le dicton du jour : "S'il pleut à la Chandeleur, les vaches donnent beaucoup de beurre"
📕 La citation du jour : "Ce que nous faisons de plus sérieux sur cette terre c’est d’aimer, le reste ne compte guère." Julien Green
Et surtout n’oubliez pas de faire des crêpes et de les partager 🥞 une tradition que j'ai plaisir à suivre comme mes parents l’ont toujours fait en souvenir de leur première rencontre, le 2 février 1949... 💖
Les origines de la Chandeleur demeurent disputées. Dans l'Empire Romain , il était d'usage, mi-février, de fêter les Lupercales. Cette période, riche en célébrations débridées (à l'image des Saturnales de la mi-décembre, qui auraient engendré Noël), se célébrait au Lupercal, une grotte située au pied du Palatin à Rome, en l'honneur de Faunus, divinité des troupeaux et de la fécondité.
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Cela s'est passé un 2 février
2 février 1905 - Première apparition de Bécassine
Le personnage de Bécassine apparaît pour la première fois le 2 février 1905 dans une histoire en images intitulée "L’enfance de Bécassine" publiée dans "La semaine de Suzette", hebdomadaire destiné aux petites filles de la bourgeoisie édité par la maison Langereau.
Les dessins sont dus au peintre Émile Joseph Porphyre Pinchon. Les textes, d’abord écrits par Jacqueline Rivière, sont ensuite rédigés par Maurice Langereau lui-même sous le nom de Caumery. Chaque planche comporte alors trois séries d’images superposées avec texte en dessous et une histoire complète occupe chaque page.
Les vingt-cinq albums qui paraissent sous la double signature de Caumery et Pinchon entre 1913 et 1939 se vendent à 1 200 000 exemplaires ce qui représente un succès d’édition exceptionnel. Caumery décède en 1941 mais Bécassine reste présente dans "La semaine de Suzette" jusqu’en 1951.
Après la disparition de Pinchon, les aventures de Bécassine sont prolongées à partir de 1959, en conservant le même style, par le dessinateur Trubert. Une autre équipe reprend et modernise les graphismes pour l’album "Bécassine au studio" paru en 1992.
L’héroïne est une petite Bretonne qui, venant chercher du travail à Paris, trouve une place de bonne d’enfant chez la marquise de Grand’Air. Le statut de Bécassine évoluera vers celui de gouvernante et de conseillère de sa maîtresse (dans "Bécassine fait du tourisme", cette dernière insiste auprès d’un maître d’hôtel pour que "Mademoiselle Bécassine" mange à sa table et non à celle des domestiques) mais le personnage demeure caractérisé par un dévouement aveugle.
La Bécassine des premiers albums se singularise par une naïveté qui confine à la bêtise et qui repose sur trois piliers : sa mauvaise maîtrise de la langue française – qui fait qu’elle prend un mot pour un autre ou une expression imagée au pied de la lettre –, sa méconnaissance des usages sociaux et son ignorance des machines modernes. On comprend que le personnage suscite l’attachement d’enfants qui, eux-mêmes, découvrent le monde : il y a quelque chose du roman d’apprentissage dans ces mésaventures constamment surmontées.
Voici le sujet que j’avais écrit sur cette héroïne de notre enfance dont j’avais quelques albums et que nous lisions avec passion ! A lire ou à relire si vous aussi, elle vous a permis de voyager dans l’imaginaire !
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Bécassine a bercé mon enfance ! j'ai adoré cette drôle de personne, dont on ne savait pas vraiment si c'était une jeune fille ou une femme voire simplement définir son âge d'ailleurs ! elle dénotait totalement des personnages connus dans les livres pour enfants, contes ou autres récits !
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